la Belle à la recherche du Bossu

Elle vit une nombre passée dans le couloir. Rapide et vif... Intriguée elle se dirigea à la porte de la salle de musique.

Elle put voir le Bossu courrir à toutes jambes en direction de son bureau.
Il s'arrêta net, sans même se retourner. Et d'un voix forte.

"Vous me cherchez madame?"

La surprise était de taille, comment pouvait il sentir sa présence?

"Ne soyez pas surprise, j'ai appris à me servir de mes capacités auditives et olfactives... C'est ce qu'il se fait de mieux pour déjouer les complots. Car je pense que c'est de ça que vous venez me parler."

Enfin il se retourna, un sourire au coin des lèvres. Il s'approcha de la dame, et lui fit une révérence, il y avait peu d'allées et venues...

elle eut une peur terrible et sa main se crispa sur le beau pistolet de feu le Comte dsous son étole ... quel horrible personne... pesa-r-t-elle sur le moment ...
- oui, je vous cherchais, Monsieur, mais avoue que vous m'avez effrayée .. ces mainières... ne me sont pas habituelles... une "espionne" se devrait de renoncer à ce trop lour parfum de tubéreuse, semble-t-il ...

elle s'approcha, sa main malgré elle sur le pistolet... comme comparer le Duc raffiné au Bossu ...


- il semble que j'ai quelques informations à vous donner, en toute confidentialité ... pouvons nous gagner votre bureau ?

elle faisait tout pour contenance garder ... mais ne pouvait cacher que le Bossu l'impressionnait

Le Bossu d'un mouvement rapide se retourna, et parla à voix plus basse.

Suivez moi.

Et sans dire mot de plus, il l'ammena jusqu'à son bureau. Il était comme d'habitude bien rangé. Le Bossu put alors prendre une aisance plus naturelle à sa personne.

Et bien Ma Dame, dites moi ce que vous avez à me dire. Je suis tout à vous. Qui, comment, pourquoi?

Il invita la Dame à s'assoir, et fit de même de l'autre côté du bureau.

Elle le suit ... se mets assise sur le siège offert

- pourquoi, par jalousie, par haine pour votre personne, qui le Duc de Plélan, et certainement ses amis, le Comte De Garivian, les frères De Marchia, la Comtesse De Villopin, sa cousine la Duchesse De Pretorend, le Baron de Tarier... comment je l'ignore....

elle avait l'impression désagéable de trahir des pairs, des presque amis...

- le Duc ne veut certainement pas trahir l'Empereur qu'il aime ... mais vous nuire ... ça, c'est indéniable... vous nuire pusique vous avez la faveur impériale...


elle le regarda, essayant de percer ses pensée, elle avait été abrupte pour le déconcerter ...

Le Bossu se mit debout d'un seul bon.

Ah le traître ! Le vagabond ! Comment ose t-il... Vous êtes de ce que vous avancé... Je veux dire, ce sont vos premiers renseignements, je pense qu'il pourrait être vérifié.

Le conseiller passa sa main sous son menton, les yeux levés vers le plafond et il faisait les cent pas.

Motif, la jalousie, cela me parait évident... Mais que prépare t il? Ou ça? Je ne vous apprend rien si je vous dis qu'il a essaie depuis longtemps de me mettre des batons dans les roues. Je vais faire surveiller de près les autres, mais gardez bien à l'oeil ce vautour. Que vous a t il dit exactement?

Le Bossu se rapprocha de la Dame, tout en courbant son dos, ou du moins essayant de faire semblant.

Masséna qui chercher, le Bossu arriva dans la pièce et vit le Bossu entrain de parler avec quelqu’un, il dit d'une voie gêner:


"Désoler de vous dérangez le Bossu, j'aurais plusieurs a vous dire et vous demandez, je vais attendre dehors, mes hommages madame de Chadirac."


Et il partit attendre dehors.

surprise par l'entrée du Maréchal et la colère du Bossu, ell perd un peu ses moyens ...

- il est clair que le Duc a des dossiers contre vous, en tout cas il l'affirme, et je suis certaine que vous avez un enneimi personnel en lui... en toute honnêteté, je ne le vois pas comploter contre l'Emperereur dont il rève de retrouver les faveurs... c'est contre vous qu'il complote, vous voyant comme un terrible concurrent dont on ne sait rien ...
il m'a personnellement déclaré que vous avez même fait tirer sur la foule ... vous ou vos maréchaux...

elle le regarda assez froidement, sans baisser les yeux

- je ne fais que vous signaler un concurrent dangereux, avec des amis à la Cour, un concurrent pour votre poste de favorit de son Altesse impériale... son complot se limite, je crois, à vous nuire... mais je vais essayer d'en savoir plus et vous liasser à Monsieur Masséna qui semble bien pressé...



elle se lève, révérence

- à votre service Monsieur ...

Le Bossu claqua son poing sur la table.

Oui, peut être un concurrent pour moi. Mais en l'occurence, l'Empereur me fait confiance pour diriger certaines affaires pendant son absence. Alors si on m'empêche de bien faire ce travail, on complote contre l'Empire !

Puis il se resaissit, se rassoit à son bureau, et joint ses mains sur la table.

Soit, je vous laisse en savoir plus pour le moment. Quand aux parisiens, je n'ai jamais au grand jamais demandé ce qui s'est passé, et j'ai même critiqué le responsable, dont je vous tairai le nom. Par respect pour cet homme.

Suite à la révérence de la dame, il se met debout.

Bonne chance.

Il lui prit la main et l'ammèna à la porte. Après l'avoir fait passé, il jeta un rapide coup d'oeil pour voir si le maréchal était toujours présent, et en le voyant il lança.

Bien, Maréchal Masséna, je suis à vous. Vous pouvez entrer.

Ce que celui ci fit.

Masséna fit un sourire a Madame de Chadirac et dit au Bossu

-Voila, je vais être bref, d'après mes informateurs, dans certain quartier de Paris, le peuple commencerait a préparer quelque chose qui serait mauvais pour nous donc je voudrais savoir si j'ai l'autorisation de procédez a des arrestation?

Le Bossu eut l'air intrigué.

Normalement nous avons une police pour cela. Que savez vous dites moi? Après j'envisagerai. Mais asseyez vous.

Il présenta un fauteuil à son interlocuteur. Puis alla de l'autre côté du bureau.

Je vous écoute.

Masséna s'ayeya sur le fauteuil et se mit a parler:







"D'après mes informateurs, dans les quartiers pauvre de Paris, il aurait eu l'apparition se que l'on peut appeler des "agitateurs" qui « engraine » la populations a se rebeller contre le pouvoir, en utilisant le prétexte que sans l'Empereur et l'Empire il n'y aurait plus de guerre."

Le Bossu eut l'air ravi.

Bien, bien. Mais vous savez, beaucoup de mondes dit cela. J'aimerai que vous en eppreniez plus. Je veux des noms, je veux des prisonniers ou des révélations. Je veux cela sans créer de désordre public.

Il se leva, et prit un énième ver de cognac.

Vous en voulez peut être un? En tout cas, si vous avez des informations, n'hésitez pas à m'en fournir. Sinon je vous laisse mener votre enquête dans les rues de Paris. N'uobliez pas, la discrétion sera notre meilleur allie, sur cette affaire.

Masséna dit


"Vous en serez plus faite moi confiance sinon sans paraitre indiscret de quoi parliez vous avec madame de Chadirac?"

Le Bossu prit un air désagréable.

Cela ne vous regarde aucunement. Sachez que ici tout ne ce sait pas, et vous ne saurez pas ce que nous avons dit. Ne vous a ton pas appris la politesse pendant votre éducation?

Il reposa son verre avec violence.

Masséna le regarda d'un air furieux et dit:



"Sachez, messieurs que j'ai perdu mes parents ,jeune et j'ai fais mon "éducation" dans l'armée et que ce genre de politesse n'était de misse"