Reunion stratégique. Janvier 1806

=> Arrivée des Generaux et Maréchaux . L'Empereur n'est pas encore la mais ne devrait plus tarder.


hrp: Massena et Davout se presentent.

*

Le maréchal Davout pénétra précipitement dans la pièce. Voyant l'abscence de Sa Majesté l'Empereur, il se calma .
Saluant plusieurs officiers présents, il remarqua le Marquis de Caulaincourt avec lequel une amitié s'était forgée .

Il s'approcha de lui et ensemble , ils commencèrent à parler en attendant l'arrivée de Sa majesté L'Empereur.



epoque:attention à l'orthographe, Maréchal. !!

Maréchal arriva dans la pièce et il avait l'air soucieux


"Messieurs ,bonjours, M.Davout, comment allez vous, vous étés revenue de Vendée ,ça c'est bien passer?"





epoque : c'est une presentation de scene !!! essaye d'etre un peu plus descriptif que 2 lignes !! Donne tes impressions, tes humeurs, ect...

Les Maréchaux etaient en train de discuter lorsque un Colonel, en tenue de parade, pénétra dans la salle . Il portait sur l'epaulette les sigles de la Garde Personnelle de Napoléon.
D'une voix forte qui fit taire toutes les convesrations, il annonca:"Citoyens, Sa Majesté Impériale ...."

Les portes s'ouvrirent , laissant entrer deux colonels ... et un petit homme .

L'Empereur.


Celui ci revenait victorieux de sa campagne d'Autriche , et c'est un dynamisme encore plus extraordinaire qu'a l'accoutumée qui semblait rayonner de sa personne, subjuguant le moindre des officiers dans la salle.
S' arretant au milieu de la piece , il considéra un instant ses officiers , tant les nouveaux que ceux parmi lesquels il avait fait ses armes, comme simple Général de la défunte République. Son regard s'arreta un instant sur Massena , une ombre sembla un instant voiler son visage, mais déja les yeux de l'Aigle s'etaient posé sur un autre officier.

D'un geste de la main, presque nonchalament, il invita ses officiers à s'asseoir autour de l'imposante table circulaire au centre de la salle, sur laquelle reposait une grande carte stratégique de l'Europe.

Une fois assis, l'Empereur entama la réunion.

"Avant tout , je tiens à vous féliciter , Mon cher Davout. Vous avez été d'une ingéniosité redoutable en Autriche . Je ne sais si nous aurions pu remporter la victoire sans votre secours."

C'etait la un compliment rare de la part de l'Empereur, qui rechignait à partager une partie de son génie tactique.

Les autres officiers observerent comment Davout allait réagir.


(=> Davout)

surprit, le maréchal davout parut un milisecondes géné par les remerciements oraux devant public de la part de l'empereur . Il ce leva tout en s'inclinant vers l'empereur .

- Sa majesté est trop bonne ! Dit il . Je n'ai fait que servir votre majesté et la France .

il ce rassit aprés cela . D'aucuns pensait que le maréchal de fer était un lécheur de bottes . Ils se trompaient lourdement . Davout était le plus souvent silencieux, ne donnant son avis que lorsqu'il était sûr que ce qu'il allait avancer porterait ses fruits . Cependant une de ses qualitées parmis les plus nôble est l'humilitée . Une fois de plus il venait de trahir ses détracteurs

*

La réunion commenca , chacun des officiers parlant tour à tour afin de donner son rapport à l'Empereur quant à l'état exact de la Grande Armée. L'Empereur ecoutait avec attention et posait parfois quelques questions précises , auxquelles s'efforcaient de répondre avec difficulté ses généraux. L'ancien Général, devenu chef d'etat , restait tres au fait des questions militaires et entendait qu'on lui dise la vérité quant aux difficultées reeles que rencontrait forcement les armées.

" Je suis inquiet messieurs. Nous avons gagné une paix, mais elle n'est que trop provisoire. Les Habsbourgs défaits , c'est une occasion pour les prussiens de faire leurs preuves en nous repoussant de Germanie. Les principautés du Sud sont inquietes des mouvements de troupes prussiens
. Je n'ai aucune confiance de plus dans le Kaiser et ses officiers m'ont toujours montré une franche hostilité.
Peut etre serait il temps desormais d'assurer nos frontieres au nord, et nous garantir que les prussiens ne prennent trop d'initiatives."


Se tournant vers Davout et Massenna , ses deux principaux Maréchaux , l'Empereur souleva un sourcil interrogateur :

"Qu'en pensez vous, Messieurs ? Une campagne contre la prusse dans les mois à venir vous semble elle une hypothese réaliste ?"

le maréchal de fer resta de marbre ( ohoh ) face aux hypothéses apportées par son souverain . Son idée était toute différente mais au fond identique . Ainsi il prit la parole

- Sir ! dit il . Je suggére que nous fassions une approche diplomatique du sujet . Je m'étonne de l'abscence du généralissime Tôtchenheim qui pourrait nous donner de nombreuses informations de par sa connaissance natale de ce pays . Ce que je propose s'établit sur le long et court terme . Premiérement nous devons prendre contact politiquement et diplomatiquement avec la Prusse souveraine,
deuxiémement pendant ce temps nous organisons un nouveau recrutement patriotique pour combattre notre potentiel nouvel ennemi,
troisiémement nous devons passer à l'attaque ,si la mission diplomatique échoue, avec les nouveaux régiments plus les neuf dixiémes de notre armée de campagne .
Le recrutement quand à lui devra se porter sur l'infanterie et l'artillerie mais pas la cavalerie . Les prussiens sont forts et loyaux, une charge de cavalerie contre leurs rangs ne fera que décimer nos troupes .
Sur le plan bataille je préconise une avance lente et méticuleuse avec l'artillerie en appui tir constant et l'infanterie avance lente .

le maréchal de fer attendit la réponse du maréchal massénat et de son supérieur, la Majesté impériale