Un vent frais soufflait dans la capitale, et pourtant, je ne frissonait pas, a moitié nue dans ma robe noire.La grille du chateau se dressait devant moi énorme, froide et fermée a qui compte n'etait pas noble ou bourgois.
Le portier a moitié endormi me vis arrivée et ouvris des yeux immenses.Mon décolleté plongeant le mettait en extase.Vraiment impressionnable ces petits laquais, me dis je.Je fis alors valoir le seul bien qu'il me restait apres l'incendit de mon manoir, mon titre de noble, que j'avais obtenu lors de mon mariage avec feu duc Lagrandmaison.
Il etait mort une nuit, il s'etait par accident arreté de respirer, du moins ce fut ma version devant les gardes venus m'arreter.Le petit laquai ouvrit la porte conscient qu'il avait affaire a une personne de tres grande classe...moi.
La cour n'etait pas aussi impressionnante que la porte du chateau: Les demoiselles manquant d'attention et avec des kilos en trop et des demoiseaux en manques d'Amour.Hereusement j'arrivais pour regler les problemmes des damoiseaux, les demoiselles ne devant faire qu'un régime pour reconquerir l'attention de leurs Amants.
J'avais justement besoin de compagnie...et d'argent.Je decrochait un demoiseau a sa compagnie (fort ennuyeuse a mon avis), le faisait parler de lui et l'attirait dans un coin de la piece.
JE ne savait pas qui c'etait mais j'avais l'impression que ce n'était pas un perrsonnage sans influence, au niveau de la cour ou dans celui des opposants...
"Mon demoiseau dites moi votre nom et votre fonction ici bas"