Arrivé de l'enfant chéri de la victoire

Maréchal Masséna arriva devant le Palais Impérial .Il chevauchait un magnifique étalon blanc .Il avait revêtu son plus belle uniforme militaire. Il avait ces bottes tellement cirer qu'on pouvait voir son reflet. Il avait accrocher a sa poitrine toute ces décoration. Il avait aussi son bâton de Maréchal que l'empereur lui avait remit .Une fois qu'il eu laissait son cheval a l'écurie ,André se dirigea vers la salle ou l'empereur l'attendait ,il saluait tout e les personnes qu'il croisaient. Il arriva devant la salle des présentation ,il frappa et entra



"Je salue altesse."


Tout en s'inclinant.

Au lieu de voir l'Empereur, il remarqua un petit bonhomme bossu, l'air las, une pile de papiers sous le bras.

Altesse? Ce n'est que moi maréchal, le Bossu, le conseiller personnel de l'Empereur. Celui ci est parti en Italie avec une révolte à mater ! D'ailleurs des révoltes nous en avons partout ! Ici même à Paris aussi !
Mais que je suis impoli, comment vas tu? Comment se porte tes affaires? Ici, nous allons avoir besoin de toi je le pense, la révolte gronde, les parisiens sont déchainés...
Voudras tu faire ton travail pour l'Empire? Pour l'Empereur? Pour la France?

Le Bossu posa ses papiers sur une petite commode placée non loin de la porte.

Masséna fut supprit et amuser de voir le Bossu

"Moi, je vais très bien a part que ces révolte dans tout l'empire m'énerve mais bon le calme va revenir quelque soit la méthode. Sinon Le Bossu sache quelque chose que moi André Masséna est toujours prêt a rendre service et faire mon travail pour l'Empire l'Empereur et la France.

Le Bossu regarda le Maréchal dans les yeux.

Bien, je te confie alors la surveillance de cette révolte qui est sur Paris. Ne fait pas les mêmes bêtises que le Maréchal Murat ! Lui a voulu tirer sur la foule, voilà ou on en est !
Donc je te conseille la méthode douce, la forte ne sera utilisée que au cas ou !
Bien compris Maréchal?

Le Bossu remit sa veste en place, encore une fois on ne pouvait imaginer qu'un tel homme puisse diriger l'empire... Petit, gringalet, mais l'oeil vif et l'esprit rapide...

Masséna dit:



"Bien,Le Bossu aucun coup de feu sera tirer."

Masséna repartit tout en pensant comme allait il gerer sa mission.

Suite dans "Pour l'Empereur".

HJ: une question je crée le topic pour la mission ou c'est vous?

Je vais le faire t'inquiète ! Tu peux me tutoyer tu sais.

D'accord.

Le maréchal arriva


"Le Bossu,j'ai finis ma mission,m'en donnez une nouvelle ou puis-je disposez?"

Le Bossu regarda le maréchal avec joie.

Et bien j'attends surtout un rapport, pour le moment je n'ai que des rumeurs à me mettre sous la dent. Alors expliquez moi tout. Merci.

Le personnage, continua d'écrire dans un carnet, comme si le maréchal n'était pas là. La pièce était silencieuse.

Masséna répondit


"-Très mon rapport vous saura présentez demain"


Et il quitta la pièce.

Le Bossu salua le maréchal avant qu'il ne parte.

Espérons que cette mission est couronnée de victoire chuchota t il.

Puis il reprit son travail.

Masséna arriva et dit:

"Le Bossu,voici mon rapport sur la Rebellion a Paris:

Quand, j'ai acceptais la mission, on ma dit qu'un Maréchal avait tirer sur la foule donc déjà ça ma trop faciliter ma mission ensuite j'avais peut d'homme mais sa allait. J'ai décider d'aller a la rencontre des rebelles et il y a eu une discutions pour les convaincre de rentrer chez eux .Mais il ne voulait pas donc j'ai été obliger de frapper et menacer leur leader (qu'on recherche) et sa les a fait partir mais le leader a dit que son action n'était pas finit .Leur but était de rencontrer l'Empereur. Sur mon intervention il n'y a eu aucun mort et qu'un blesser legers. Mais il y a eu pas mal de dégât matérielle.

Voila."

Le Bossu eut l'air ailleurs.

Bien, j'espérai régler ça par le dialogue. Mais au moins il n 'y a pas eu de morts, espérons que ces manifestations vont cesser.

Bien, Maréchal je vous charge d'assurer l'ordre public pendant une période d'un mois. L'amrée aidera la police. Si le ministre n'est pas d'accord, et bien vous lui direz que c'est un ordre du Bossu.

Je veux quelque chose d'efficace, mais pas de sang ! De la prévention, pas de la répression !

Bonne chance maréchal !

Le conseiller reprit son travail, comme si il n'avait même pas parlé au maréchal.

"Bien le Bossu"



Et il partit en claquant des talons.