Arrivée de Hermándy

La voiture d'Hermándy s'arreta devant un vaste batiment, ou deux Dragons montaient la garde. Il sortit la tete par la fenetre et montra sa lettre signée par la Bossu, les cavaliers le laisserent entrer. Le vehicule s'arreta dans dans la cour du palai et un palefrenier accouru pour ouvrir la porte, Ferenc descendit et lui demanda:

-"Ou pourais je voir monsieur le ministre?"
Le palefrenier surprit de voir un etranger lui repondit de le suivre. Ils entrerent dans un batiment et le serviteur demanda qui annoncer, le cavalier repondit:

-"Donnez lui cette lettre et annoncez le Rittmeister Hermándy"

L'homme disparu laissant le Huszar dans l'attente.

Apres quelques minutes d'attente un homme vint chercher le cavalier et lui dit qu'il allait etre presenté au ministre Tötchenheim


**Tötchenheim....c'est pas tres Français....un germain...esperons qu'il soi de Sud ou Autrichien...**

Apres etre arrivé devant une porte à laquelle le secretaire frappa deux coups Feren enleva son shako, qu'il plassa sous son bras droit et entra d'un pas militaire dans le bureaux du ministre, ministre qui lui dit:

-"Rittmeister Hermándy, je suis fort aise de vous rencontrez . Les services du Palais m'avaient signalé votre arrivée . Avant de vous donnez vos affectations, j'aimerais que nous discutions quelque peu. Prenez un siege ,capitaine."

Hermándy repondit:

-"Je suis honorer de vous rencontrer monsieur le Ministre et je suis pret à repondre à toutes vos interrogations, auquelles j'ai, bien entendu, la capacité de repondre"

[s'assied]

Le Ministre ecoutait avec attention.Il tenait un verre dans

"Fort bien capitaine . Nous aurons l'occasion de reparler de bien des choses ensemble, mais pour l'heureJ'ai une question tres simple pour vous."

Le ministre se leva et s'approcha de la large fenetre , derriere son bureau , qui donnait sur les casernes des dragons.


"Capitaine, connaissez vous Paris ?"

"Capitaine, connaissez vous Paris ?"

Le cavalier, toujours assit repondit:

-"Monsieur, c'est la premiere foi que je met mes pieds dans Paris...à part votre ministere et le Palais Imperial et quelques Parisiennes je ne connais rien..."

Le Ministre eut un sourire.
"Hé bien je vous conseille de vous y mettre rapidement... car je vous nomme capitaine de la Garde de Paris. J'ai besoin de quelqu'un pour commander le régiment de Dragons de la caserne Henry II. C'est vous qui les commanderez . Vous serez en charge d'assurer l'ordre de Paris, en cas de debordements que la police ne pourrait contenir."

Le Ministre se lissa la moustache , et proposa un nouveau verre au capitaine.

"Vous me rendrez compte personnelement , capitaine... Et j'aurais egalement deux ou trois missions ... particulieres, à vous confier."

le Ministre considera un instant le jeune capitaine, qui lui rappelait tellement sa propre ancienne vie, avant qu'il ne monte à Paris et n'acquiert ses responsabilités de Ministre.

"Si vous n'avez pas de question, rompez capitaine. Je vous conseille d'aller rendre visite au Ministre de la Police, ce cher Deghelrode. Vous serez souvent amené à travailler avec lui."

Le cavalier venait à peine d'arriver et il etait nommé capitaine de la Garde de Paris, etonné il repondit:

-"Monsieur c'est un honneur mais...mais je ne sais pas si nommer un etranger...un ancien ennemi, qui c'est illustré contre les armées Françaises et la meilleur des choses...De plus des Dragons ne se commandes pas comme des Hussards...mais si vous y tenez vraiment, que personne d'autre est dans la capacité d'occuper ce poste j'accepte. l'officier apprés un leger temps d'arret repritJe voudrais vous faire savoir que des cavaliers de l'armée Autrichienne, comme moi patriotes, sont pret à nous rejoindres mais dans une unitée nationale..."

Le Ministre regarda longuement le jeune capitaine.

"Sachez capitaine, qu'avant de venir à paris, j'etais moi meme simple commandant de garnison à München, aux marches exterieures de l'Empire. Cela ne m'a pas empeché pour autant d'entrer au service de l'Empereur, et d'arriver aux plus hautes responabilités. Songez y. L'Empire ne connait de races ni de nations,capitaine, simplement lui suffit la valeur des hommes qui le servent."

Il y eu un silence dans le bureau, le temps que les deux hommes se toisent du regard.

"Je ne tiens a rien , capitaine. Je decide seulement pour le bien de l'Empire.
Ne vous voyez donc pas contraints , capitaine Hernandy. L'Empereur ne saurait se satisfaire d'hommes qui ne se sentent a leur place. Je reitere donc mon offre: acceptez vous ou non de servir en tant que capitaine de la garde.
Si ce poste ne vous interesse , j'ai toujours d'autres affectations avous donner.

-"Monsieur, veuillez m'excuser, mon voyage fut long et fatigant....J'accepte donc avec grand plaisir votre proposition et vais de ce pas rencontrer le ministre de la police si vous me permettez de me retirer."