L'arrivée de l'empereur

L'empereur revient de Austerlitz, la victoire est grande... la joie, mais aussi la fatigue se lit sur son visage. Il courbe légèrement vers l'avant, donnant une impression de lassitude... Chose que l'on ne connaissait pas chez lui. Enfin il se retourne vers ses suivants et conseillers

Bien voilà, une bonne chose de faite...
Après cette victoire, l'avenir est envisageable a long termes. J'espère que vous comprenez tous ma politique, l'expansion empêche la régression. Le peuple doit voir en sa nation, une nation forte...
J'attends de voir maintenant quels sont ceux qui vont m'aidere à continuer la route...

Il se dirige vers son lit, ses conseiller le suivent... Il s'assoit et souffle un bon coup...

Un conseiller entra dans sa chambre, et lui tendit un petit papier.

Messieurs, je viens de recevoir le nom de la première personne à s'être manifestée à mon appel. Il s'agit de notre agent responsable des affaires étrangères, Mademoiselle Léa Calça.

L'empereur pris un air heureux, un peu du poids qui pesait et de la fatigue qui le harcelait fut enlevé comme par enchantement.

Avec elle dans nos rangs, l'Europe n'est plus loin !

L'empereur ferma les yeux, se remémorant la bataille d'Austerlitz, les cris, les bruits, les hurlements, les morts, les canons...

Léa Calça continua sa promenade au sein de la ville lors qu’elle arriva jusqu'à à la chambre de l’empereur. D’un pas hésitant et l’air inquiète, elle s’approcha de la porte et toussota doucement.

Hum … hum … Excusez-moi cher empereur, je ne désire point vous déranger mais je souhaitai me présenter à vous. Je vais honorer mon contrat avec mon humble travail pour vous.

Attendant une réponse de la part de l’empereur, Mademoiselle Calça contempla les murs du palais pour y admirer sa splendeur

L'empereur se mit debout, s'approcha de la demoiselle, et se pencha humblement pour lui faire un baise-main.

Sachez ma chère, que je disais à mes conseillers à quel point j'appréciais votre travail, et que votre soutien dans cette guerre me sera des plus utile. Ne vous inquiètez pas pour votre arrivée, elle ne me dérange nullement, bien au contraire.

Il sembla un moment perdre son équilibre, puis se resaissit.

Excusez moi, je suis encore bien fatigué. Avez vous visité le palais? Sinon je vous propose Monsieur Luigreau qui est un de mes conseillers, il vous conduira ou vous le voulez. A moins que vous préfériez être seul.

L'empereur désigna le conseiller, écrivit un petit mot rapidement sur un papier et le donna à Monsieur Luigreau. Puis il lui glissa quelques mots à l'oreille, et lui donna le papier.

Voilà mademoiselle, excusez moi de ce dérangement. J'ai hâte de vous revoir.

Messire Luigreau.
Pendant qu'il se balladait, le conseiller expliquait les anecdotes de chaque pièce, leur histoire, il connaissait parfaitement ce palais, il y avait réalisé toute sa carrière. Enfin, ils retournèrent devant la porte de la chambre de l'empereur, c'est à ce moment là, que Messire Luigreau donna le petit mot du patron de la nation à Mademoiselle Calça.

Il m'a demandé de vous le donner, au revoir bonne fin de journée.

Puis il rentra dans la chambre de l'empereur laissant seul la demoiselle.

à l'intention du conseiller de l'empereur

moi marechal suis revenu pour vous soutenir après certe une belle victoire tant méritée à austerwitz, empereur comptez sur moi pour vous soutenir car après une terrible épreuve comme celle ci, des cauchemards vont rendre votre nuit dure, et un soutien pour soulager son esprit serait de bonne augure, ne pensez vous pas empereur ?

Longue vie à l'empereur

marechal